Après
ce rude hiver, un seul oiseau restait L'art d'être grand-père Plus
loin dans le poème, |
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Comme
les enfants, Victor Hugo aime les animaux. Ils sont si divers, puissants
ou frêles, parfois diformes, parfois ravissants... Ce créateur
d'oeuvres tout aussi dissemblables (chants épiques et tintamarres,
douces musiques, chansons des collines, romans d'action, théâtre,
essais, discours, prières etc... etc...) emmène donc
ses petits enfants voir les animaux du jardin des plantes, à
Paris. |
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